A simple web search comes-up with definitions that contextualize these concepts, “…heritage is the Une simple recherche sur le Web permet de trouver des définitions qui mettent ces concepts en contexte : « … le patrimoine est l’histoire, les traditions et les qualités qui ont été transmises pendant de nombreuses années et qui définissent ce que nous sommes aujourd’hui ; l’héritage est une situation actuelle qui existe en raison d’actions ou d’événements du passé… »
Revenant sur douze décennies d’histoire de Technicolor, nous avons choisi de créer un espace pour les nombreuses personnes qui souhaitent en savoir plus sur le passé prestigieux de l’entreprise… MAIS pas par nostalgie. William Shakespeare était très lucide lorsqu’il a suggéré que « le passé est un prologue. » De toute évidence, le contexte était très différent, tandis que l’auteur William Faulkner avait un jour ironisé : «Le passé ne meurt jamais. En fait, ce n’est même pas du passé. » Cette notion de résonance du passé est un sujet que nous voulons explorer, sans pour autant opposer le passé au présent. Comme l’a si judicieusement noté Winston Churchill, « …Si nous entamons une querelle entre le passé et le présent, nous manquerons le train de l’avenir »
To guide this initiative, we’re focusing on three central attributes of Technicolor history. The first is the Pour guider cette initiative, nous nous concentrons sur trois éléments centraux de l’histoire de Technicolor. Le premier est la iconique de Technicolor. Pour de nombreuses générations de cinéphiles et de réalisateurs, la société était universellement considérée comme « le plus grand nom de la couleur. » Cette réputation a été durement gagnée ; et derrière le succès de l’entreprise existe une histoire fascinante, et parfois même étonnante.
Le deuxième attribut concerne les générations passées de talents de l’entreprise qui ont fait preuve d’un grand courage dans le cadre de leur travail. On a tendance à oublier le paysage concurrentiel féroce auquel Technicolor était continuellement confronté. Le succès de l’entreprise au cours des douze dernières décennies repose sur les réalisations de ses courageux talents : ses artistes, ses étalonneurs, ses ingénieurs et ses dirigeants. Son histoire est jalonnée d’individus qui méritent une bien plus grande attention en raison de leur intrépidité technologique ; le plus grand de ce panthéon est probablement le Dr. Leonard Troland. Il a travaillé chez Technicolor pendant moins de 15 ans, mais la marque qu’il a laissée dans l’histoire du cinéma est indélébile. S’il n’était pas mort prématurément en 1932, son influence sur la couleur au cinéma aurait été plus largement appréciée.
Enfin, le dernier point est centré sur le dynamisme et la vitalité de la marque Technicolor. La société est peut-être aujourd’hui une entreprise très différente de celle imaginée par ses fondateurs en 1915, mais toutes ces générations ultérieures de scientifiques, d’ingénieurs et de génies de la couleur possédaient une passion commune pour l’excellence créative, comme en témoignent les films réalisés par la société.
Le nom, Technicolor, parle presque de lui-même pour ceux qui connaissent la riche histoire de l’entreprise. Il a été créé pour symboliser le mariage de la technique et de la couleur. Aujourd’hui, on entend ou on lit régulièrement le mot Technicolor dans une myriade de contextes et de significations, qui n’ont pas grand-chose à voir avec l’entreprise, ses services et son talent. Parler de Technicolor dans un sens historique est un défi intéressant , puisque le nom est maintenant utilisé comme un pronom, un adverbe… ou un adjectif. Le plus souvent, le terme est employé pour désigner quelque chose de coloré, et il est devenu une sorte de référence dans le vocabulaire ; une prétention qu’aucune autre marque dans le domaine de la création de divertissement ne peut vraiment avoir.
De toute évidence, le monde dans lequel la société évolue aujourd’hui est très différent, mais la gestion du changement a toujours été l’une des principales caractéristiques de son succès : la manière dont la société a réagi à l’évolution constante du monde de la production, de la distribution et de la diffusion des médias… la manière dont elle a réagi à ces bouleversements technologiques et à la concurrence féroce au cours des nombreuses décennies. C’est une question provocatrice : comment comparer la période de création de Technicolor, qui remonte à plus de cent ans, avec le paysage du cinéma, de la télévision, de l’animation et des jeux contemporain ?
Pour nous aider, nous avons rassemblé un panel de personnes pour discuter d’une multitude de facettes intéressantes de l’histoire et de l’héritage de l’entreprise.
Au fil du temps, nous intégrerons des voix du monde entier qui pourront offrir leur perspective sur l’évolution constante de la production mondiale de contenu de divertissement et de publicité.
Les effets visuels sont le principal domaine de compétence de Technicolor Group… un point de départ intéressant. Les générations contemporaines de professionnels des VFX peuvent considérer que la création de contenu a été façonnée par les récents changements dans les méthodologies numériques utilisées aujourd’hui, sans trop tenir compte du fait que les effets visuels ont toujours fait partie intégrante de l’expression cinématographique depuis les premiers jours de la photographie, qui remontent au milieu du 19e siècle, ainsi que des premières images animées des dernières décennies, comme en témoignent les travaux du photographe Eadweard Muybridge, des frères Lumière et surtout de l’illusionniste français Georges Méliès.
Les effets visuels ont toujours fait partie du processus de base de la réalisation de films. On peut encore se demander ce que les effets visuels ont à voir avec le Technicolor de l’époque. La couleur, comme tout autre aspect de la production cinématographique, reste un outil créatif employé par les cinéastes avec une intention narrative, pour susciter une réponse particulière. La couleur, historiquement, peut facilement être considérée comme un effet visuel. Au milieu des années 1890, Méliès présente ses films en couleurs, des teintes appliquées à la main par des légions d’artistes qualifiés. Lorsque Technicolor a conquis le marché de la couleur réaliste, au milieu des années 1930, la société s’est réinventée avec une grande régularité, quatre fois au cours de ses deux premières décennies.
Lorsque Kodak a lancé son premier négatif en couleur pour le cinéma 35 mm, vers 1950, Technicolor a réagi rapidement en introduisant son « Process Number Five » ; sans doute l’une des réalisations les plus importantes de l’histoire du cinéma en couleur. La réinvention faisait partie intégrante de la structure de base de l’entreprise. Et tandis que la couleur devenait facilement accessible grâce au succès de Kodak, Technicolor a continué à dominer l’industrie cinématographique en lançant le tirage en masse à la fin des années 1970, et en soutenant le marché florissant du divertissement à domicile. À la fin du siècle, Technicolor a de nouveau été à la pointe de l’évolution du cinéma en passant au cinéma numérique et à la finition numérique intermédiaire des couleurs.
Nous sommes ravis de partager de nombreux moments emblématiques de notre histoire : explorez notre frise chronologique interactive pour en découvrir plus.
